Livres magnifiques
Sexus, Henry Miller
Le désespoir jubilatoire, la vie splendide, merveilleuse, oppressante, infiniment libre.
Crime et châtiment, Feodor Dostoïevski
Beauté de l’introspection cultivée, les limites de l’intellect.
Le festin nu, William Burroughs
L’association libre sous substances psychotropes, Lewis Caroll vs Philip K Dick, beau et sombre.
Belle du seigneur, Albert Cohen
Somptuosité précieuse, romantisme mièvre et humour juif, tragédie magnifique.
Fahrenheit 451, Ray Bradbury
Limites de notre monde de culture, beauté surannée.
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Nous lui devons probablement les limites éthiques sur la bio-ingénierie et le clonage.